Phantom reflections
Résumé
Deux nouvelles de Virginia Woolf, « The Mark on the Wall » et « The Lady in the Looking-Glass: A Reflection », partagent des structures narratives similaires, et explorent les rapports entre le soi et le monde extérieur. Le présent article tente une lecture parallèle de ces deux nouvelles, afin d’examiner les différents régimes de la saisie du monde que celles-ci mettent en scène. Nous tentons de montrer que le soi est représenté dans un état de création perpétuelle de lui-même, ce qui rend la réflexivité subjective non seulement impossible, mais aussi un risque, et pour le soi et pour la fiction.
‘The Mark on the Wall’ and ‘The Lady in the Looking-Glass: A Reflection’, two of Virginia Woolf’s short stories with striking structural similarities, explore the relationship of the self to the exterior world. This article engages in a parallel reading of these two texts, in order to examine the different modes of apprehending the world and the self they stage. This reading attempts to show that the self is represented in a perpetual state of creation, which makes subjective reflexivity not only impossible, but also a potential risk for the self and for fiction.
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